Peut-être un fond musical d’ambiance pour accompagner votre lecture, c’est offert par moi. Cadeau.
Avec cet hiver qui pour nombre d’entre nous referme doucement ses portes sur nos sages vélos rangés le temps d’une saison, j’avais envie de poser un regard nostalgique & attendri sur nos attachants destriers qui si fidèlement accompagnent nos humbles vies. Pour nous ils nous libèrent, pour nous ils nous ouvrent les chemins, ils allègent nos efforts, écourtent les distances, rapprochent les humains et nous rendent notre mère Nature. Ils sont nos Muses et nos Naïades. Tantôt complice, tantôt témoin, jamais objet dans l’Histoire nous a été plus précieux que notre vélo.
A cette pièce unique en son genre et vibrante de vie, à ce divin croisement d’objet d’art et de culture qui tient du merveilleux, j’ai voulu lui adresser un chaleureux hommage pour lui montrer que nul d’entre nous jamais ne l’oublie. Qu’aux premiers rayons de soleil Printanier, tels des princes penchés sur notre belle endormie, d’un baiser le réveillerons de son sommeil hivernal braver de nouvelles aventures, humer le fond des airs, sillonner les routes, dévaler les chemins et gagner les horizons.
Parce que le vélo est avant tout alliance du commode au sensuel:
Cette vélotitude, j’ai choisi de l’exprimer en cette occasion sous 3 angles plutôt rares, originaux, en invoquant l’iconographie du vélo dans le temps, et plus exactement le vélo par l’affiche de Pub. Avec un accent mis majoritairement sur le style Vintage. En préambule, ceci d’extrêmement rare pour ne pas dire un scoop, ces photos inédites d’une scène que j’ai beaucoup aimée, le défilé de mode de vélos, une exclue Erycproject.
Un défilé de mode de vélos, c’est à mon sens le plus glamour aveu de subjugation qu’on puisse faire à un vélo. Il est porté aux confins du ravissement et de l’élégance parmi les symboles les plus courtisés. C’est la célébration, la révérence aux années de méticuleux travail coûté à son orfèvre dans sa lente et passionnelle manufacture menée avec un amour infini, une compétence sublimée et une patience en or.
Place à présent aux affiches Vintage du siècle dernier. J'en ai parcouru des centaines et il m'a fallu trier, j'ai donc fait un choix.
Et enfin cette dernière affiche cyclophile de la série des verticales, avec un rapport que secondaire aux vélos mais une tout de même assez jolie malgré tout.
De suite, la transition entre les verticales & les horizontales, avec cette paire de contemporaines.
Je sais, elles ne sont pas Vintage, c’est le Mal, mais je n’ai pas pu résister à la tentation.
Comme promis, on accueille maintenant la série des horizontales.
Chose promise, chose dûe, voici la plus jolie des horizontales en mode Vintage:
J’espère que vous avez passé un agréable moment par cette aimable évasion en compagnie de cette sélection d’affiches qui toutes à leur manière louent la grandeur de nos vélos chéris. Je vous ai préparé quelques extras, ce sont les bonus comme il est coutume d’en trouver dans les DVD. Mon concept est de vous les ajouter à la suite, pour finir sur une touche d’humour fin et insolite.
Comme quoi, si lui transporte un frigidaire à vélo, on le peut tous. Et dans les bonus ultimes, je lève le voile sur un mystérieux secret, vous saurez désormais à quoi carburent nos amis les cyclistes Hollandais.
Voila, c’est l’heure de nous quitter. Je vous dis à bientôt pour mon prochain article qui, s’il est celui auquel je pense, sera politique et solennel. Alors on se sépare sur cette légère maxime Erycienne que je dis toujours:
« Deux roues de plus, c’est quatre roues de moins. »
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