Dans cet article, implicitement, il est question de voyage dans le temps puis de mémoire, et dans le prolongement, d’une période précise qui me tient personnellement à coeur, celle de Jesus Christ. Il y a un point de l’histoire que depuis fort longtemps je tiens tout particulièrement à souligner. Je vais mettre un terme net & définitif, ici et maintenant, à ce mythe typiquement Juif voulant que Jesus eut été Juif.
C’est depuis ma naissance que partout dans la bouche de tous et leur contraire, j’entends ce qui est l’une des plus énormes désinformations que peut compter la croyance collective, initiée encore une fois par pas moins que les Juifs en personne. A cet égard je suis bien aise, au cours de mes documentations, d’avoir mis la main sur la video que vous venez de voir et qui conforte ce que je rétorque toujours à tous les égarés que la doxa persuade et manipule.
Premièrement, comme le fait si bien remarquer l’intervenante, on appelait Juif indistinctement quiconque habitait la province de Judée. Celle-là, pour information, comprenait: Philistie, Nabatène, Judée, Samarie, Pérée, Décapole, Galilée, Gaulanitide et Phénicie. De plus, Jésus parlait non l’hébreu mais l’araméen, sa langue maternelle, celle issue de l’exil de 70 ans à Babylone vers -500. Il connaissait aussi l’hébreu, la langue dans laquelle la plupart des livres saints du judaïsme ont été rédigés. On le voit ainsi dans la synagogue de Nazareth lire sans aucune difficulté le texte hébreu du livre d’Esaïe et en faire pour les auditeurs un commentaire audacieux (Luc 4.16-17). Ce qui est à retenir est que l’on est tel qu’on se ressent, c’est à dire selon quel état d’esprit spontanément on adopte, intuitivement. Or la première marque de sa propre revendication d’une culture qui scelle votre signe identitaire et culturel est le choix intime d’une langue plutôt qu’une autre. On en parlait 3 en Palestine à cette époque dont également l’ Hébreu et le Grec (la langue ultérieure vers 150 qui figea les Evangiles). Pourtant souvenons-nous de « Talita qoum », s’adressant à la fillette à qui il lui rendit la vie (Mc 5,41), « Ephphata » (Mc 7,33). Marie de Magdala s’adresse à lui en lui disant « Rabbouni » (Jn 20,16). Les paroles qu’on lui rapporte au moment de sa mort: « Eloï, Eloï lama sabaqthani » (Mc 15,34) sont également en Araméen, et non en Hébreu.
D’autre part, le peuple Juif lui-même n’est qu’un douzième du Grand Israël allant du Nil à l’Euphrate, s’agissant de la tribu de Juda, et chacune des 12 tribus vivant différemment de ses voisines, avec ses spécificités: tribu de Siméon, de Gad, de Zabulon, de Benjamin, de Manassé, d’Ephraïm, d’Issacher, d’Aser, de Nephtali, de Dan, de Levi et tribu de Ruben.
Enfin, il faut considérer dans ce maillage mosaïque constitutif de cette communauté, ses sous-divisions en groupes idéologiques de parole et d’actes que certains appellent avec péjoration « sectes » et qui sont autant de déclinaisons à une arborescence en soi chargée à la limite du disparate: les Esséniens, les Scribes, les Thérapeutes, les Zélotes, les Brigands, les Sicaires, les Saducéens et les Pharisiens. Les uns parfois exclusifs des autres et sinon contradictoires du moins dissemblables. Vous avez une évocation du manque d’unité globale d’une population qui n’a de Juive que le nom, finalement, eu égard à sa propre hétérogénéité au sein de ses terres, cent fois troublée de tous les écartèlements et annexions possibles comme en donne une idée « La Guerre des Juifs » de Flavius Josèphe.
Dans l’Histoire, et les faits ne manquent pas pour le prouver, la gent auto-proclamée Juive, s’est toujours montrée nomade, histrionne, stratège, éparse, tribale, réfractaire à toute intégration, psychanalytiquement complexée au sens Freudien, et même, assez ethnocentriste et opportuniste pour se classer « Juif » (Manuel Valls), ou classer une personne comme Juive par intérêt au gré de leur humeur et des enjeux. C’est ce qu’ils ont fait avec Jésus mais dont toute personne un tant soit peu instruite et lucide sait pertinemment qu’ils l’ont renié, lapidé, molesté (sur les marches du Temple), puis trahi, persécuté et enfin fait crucifier.
Par conséquent, s’il y a une chose que définitivement, il n’a jamais risqué et il ne risquera jamais d’être, c’est Juif. De plus, pour clore le débat, il n’a pas à être Juif, surtout quand on sait ce qu’est être Juif, et que Jésus EST RELIGION ! ll est à lui seul Religion et en l’occurrence le Christianisme.
A compter de maintenant et avant de terminer mon article avec 4 videos traitant de la mémoire, la poursuite de mon texte va exactement se décomposer selon les 3 items suivants, de cette manière précise, en voici le plan:
1 – Théoricité et empiricité de la judaité de Jesus par l’approche de la filiation.
2 – L’horreur blasphématoire Juive sur le personnage de Jésus dans le Talmud.
3 – Jésus était Egyptien de coeur et de culture.
l - La filiation de Jésus comme argument d'une judaïté spéculée:
Voici la table des « origines » de Jésus Christ, doublement fils indirect de David et d’Abraham: Abraham engendra Isaac, Isaac engendra Jacob, Jacob engendra Juda et ses frères, Juda, de son union avec Thamar, engendra Pharès et Zara, Pharès engendra Esrom, Esrom engendra Aram, Aram egendra Aminadab, Aminadab engendra Naassone, Naassone engendra Salmone, Salmone, de son union avec Rahab, engendra Booz, Booz, de son union avec Ruth, engendra Jobed, Jobed engendra Jessé, Jessé engendra le roi David. David, de son union avec la femme d’Ourias, engendra Salomon, Salomon engendra Roboam, Roboam engendra Abia, Abia engendra Asa, Asa engendra Josaphat, Josaphat engendra Joram, Joram engendra Ozias, Ozias engendra Joatham, Joatham engendra Acaz, Acaz engendra Ézékias, Ézékias engendra Manassé, Manassé engendra Amone, Amone engendra Josias, Josias engendra Jékonias et ses frères à l’époque de l’exil à Babylone.
Après l’exil à Babylone, Jékonias engendra Salathiel, Salathiel engendra Zorobabel; Zorobabel engendra Abioud, Abioud engendra Éliakim, Éliakim engendra Azor, Azor engendra Sadok, Sadok engendra Akim, Akim engendra Élioud, Élioud engendra Éléazar, Éléazar engendra Mattane, Mattane engendra Jacob, Jacob engendra Joseph, l’époux de Marie, de laquelle fut engendré Jésus, que l’on appelle Christ (ou Messie). Le nombre total des générations est donc: 14 d’Abraham jusqu’à David, 14 de David jusqu’à l’exil à Babyone, 14 de l’exil à Babylone jusqu’ à Jésus Christ.
C’ette longue généalogie (incomplète comme je vais vous le prouver) est à voir comme le terrible effort de conviction qu’aura fait Saint Mathieu pour persuader les Juifs convertis au Christianisme de l’origine Juive de l’homme pur de lumière nommé Jésus, dit « Rex » par Ponce Pilate. Bien inutilement, en effet, car son père Joseph n’était pas son père biologique mais son père adoptif. Que les Juifs me voient donc désolé de si abruptement leur casser l’ambiance.
Toujours sur sa prétendue « judaïté » qui n’est qu’une illusion doublée d’une gratuite insinuation dérivée d’un étirement notable de l’imaginaire élastique toujours si fertile des Juifs de toutes les époques notoirement rompus à l’art de l’absurde. Une construction élucubrée, comme celles du croisé Bernard Henry Levy, qui ne repose pas sur des données factuelles: Sans souffrir la moindre contradiction qui s’appuyât sur des faits historiques, les spécialistes les plus pointus s’accordent sur ce point précis que Jésus-Christ n’était pas un « Juif ». Ils pourront vous confirmer texte original à l’appui, que pendant sa vie, Jésus-Christ était désigné comme un « Judéen » par ses contemporains, et non comme un « Juif » ; ils vous diront également que Jésus-Christ se désignait Lui-même comme un « Judéen », et non comme un « Juif ». Pendant son passage ici sur Terre, Jésus fut désigné par les historiens de l’antiquité comme un « Judéen », et non comme un « Juif ». Tous les théologiens de l’antiquité, dont la maîtrise de la question pourrait difficilement être mise en doute, désignent Jésus-Christ, pendant sa vie ici sur Terre, comme un « Judéen » et non comme un « Juif ».
Un ressortissant, donc, de Judaea l’ancienne Canaan la bien connue province Romaine et actuelle Palestine de Judaeus dont le génitif pluriel en Latin est Judaeorum et qui a pour stricte traduction « des Judéens », et non pas: « des Juifs ». Il est complètement impossible de donner une autre traduction littérale au latin Iudaeorum. Raison pour laquelle, tous les théologiens et tous les historiens sérieux qui maîtrisent correctement cette question savent qu’il faut traduire Iesus Nazarenus rex Iudaeorum par « Jésus le Nazaréen chef souverain des Judéens » (l’insigne que fit graver Ponce Pilate dans le bois de la croix de Jésus).
Pour les peu érudits d’athées matérialistes carencés en intelligence et en spiritualité, c’est de ce Titulus Crucis que vient l’acronyme INRI ( Iesvs Nazarenvs, Rex Ivdæorvm ).
De même, il n’existe aucun fondement historique qui nous permette de dire que le mot grec ioudaiwj, le mot latin Iudaeus, ou le mot français « Judéens », aient jamais possédé la moindre connotation religieuse. Dans leurs langues respectives, ces mots n’ont toujours revêtu qu’une simple connotation géographique. Comme je l’ai dit plus haut, ils étaient utilisés pour désigner ceux nés en territoire de Judée. Et à l’époque de Jésus-Christ, il n’existait aucun culte religieux en Judée ou ailleurs dont le nom ait la même racine que le mot « Judée », comme c’est par contre le cas pour le culte religieux dénommé « judaïsme ». Aucun culte ni aucune secte ne portaient le nom de « judaïsme ».
En outre, le mot (Juif) n’existait pas dans notre langue avant 1775. La première acception écrite du mot (Juif) en langue anglaise (Jew), nous a été laissée au XVIIIe siècle par Sheridan dans sa pièce de théâtre « Les Rivaux ». Dans l’Acte 2, scène 1 de cette pièce, on lit: « Elle aura la peau d’une momie, et la barbe d’un Juif ». Avant cette utilisation du mot (Juif) faite par Sheridan, ce mot n’existait tout simplement pas. C’est aussi simple que cela. Ainsi, Shakespeare ne l’employa dans aucune de ses pièces, excepté dans le Marchand de Venise, acte 5 scène 3 dont j’ai vu une adaptation cinématographique il y a deux semaines. Un film que je vous recommande, joué très professionnellement, avec le formidable Al Pacino dans le rôle de Shylok.
2 - L’horreur blasphématoire Juive sur le personnage de Jésus dans le Talmud:
Un ami Russe me disait un jour: « На фоне этого кажется нереальным, что Христос был евреем, первые христиане были евреями. Если бы отобрать у них Талмуд, наверняка получились бы нормальные люди. »
Que ce soit le Talmud de Jérusalem ou le Talmud de Babylone, c’est le Talmud des Juifs qu’ils s’enseignent téléonomiquement (pour ne pas dire « se martèlent »), « ne varietur », sans entropie depuis des siècles de génération en génération. Il est connu, transmis et glorifié. Il est aimé de Thierry Ardisson, Manuel Valls, Dominique Strauss-Khan, Jean-François Khan de Marianne (de l’ex- Evènement du Jeudi) notoire Juif sioniste de Gauche-caviar et artisan du sous-déculturalisme Mondialiste, des Juifs sionistes Nicolas Sarkozy & François Hollande, des milliardaires Juifs dévoyés et corrupteurs Bernard Henry Levy, Anne Sinclair (du Huffington Post) et Bernard Kouchner, de Jean-Pierre Elkabbach, de toute la Nomeklatura Juive composant à 99% France-Casher dit France-Inter, de tous les animateurs Judéo-crétins tels Jacques Essebag dit « Arthur », de Marc Tellene dit « Karl Zéro », de Cécile Moharic Hellouin dite « Cécile de Menibus », de toute la secte Juive Sabatéenne sur tous les médias de désinformation et leurs auteurs qui tout en vous cachant leur outrageante culture du blasphème à Jésus Christ osent encore avec leur air apitoyé vous exiger repentance et flagellation pour quelques milliers de Juifs déportés (une goutte à l’échelle océanique des milliards de Juifs dans le Monde) dont leur occupation quotidienne en coulisse est le néga-révisionnisme des génocides Kosovars, Arméniens, Irakiens et Palestiniens.
Ce document journalistique si éblouissant de pertinence et de très grand intérêt historique s’intitule:
За что ненавидят евреев (Уильям Пирс)
Ce qui signifie « Pourquoi les Juifs sont détestables« . Comme indiqué, il est de William Pierce. Même le terme de « mérite » Juif est abusif, celui que les Juifs vous assènent à longueur de temps en n’ayant à leur bouche que l’exemple éculé d’Einstein. Einstein était un plagieur dont il doit sa présumée « théorie de la Relativité » en 1905 en réalité aux travaux de Poincaré et de Lorentz.
J’en viens au Talmud (תַּלְמוּד) et à sa dissidence tant à la morale Biblique qu’à Jésus en tant que Torah de Moïse faîte chair. Même si tout d’abord il échet de citer ce qui peut être en symbiose logique avec le personnage du Christ et son enseignement, le Judaïsme Rabbinique orthodoxe est globalement pur rejet de Jésus (Yéshoua) à la place du Tenack (Véritable Parole de Dieu Vivant). Il est enseignement du même Pharisianisme que précisément Jésus condamnait.
Avant tout, curieusement concernant l’image de la femme, il y a comme point d’accord:
« Honore ta femme afin que tu prospères » (Baba Metzia 59 a)
« Celui qui aime sa femme comme lui-même, et qui la respecte plus que lui-même, à celui-ci revient le bonheur et la paix au foyer » (Yebamoth 62 b)
En harmonie avec les préceptes de l’apôtre Paul:
Colossiens 3:18-19: Femmes, soyez soumises à vos maris, comme il convient dans le Seigneur. Maris, aimez vos femmes et ne vous aigrissez pas contre elles.
Ephésiens 5:24-25: Or, de même que l’Église est soumise à Christ, les femmes aussi doivent l’être à leurs maris en toutes choses. Maris, aimez vos femmes, comme Machiach (Messie) a aimé l’Église, et s’est livré lui-même pour elle.
Mais la confortation aura viré très court et le divorce est consommé avec des citations trop peu révérencieuses et pas du tout à mon goût comme:
Berakhot 17 a:
« Puissions-nous n’avoir ni fils ni disciple qui gâte son plat publiquement en le relevant trop d’ingrédients étrangers comme le Nazaréen » (en parlant de Jésus).
Sanhédrin 103 a:
« Car tu n’auras pas un fils ou un disciple qui gâte son plat publiquement en le relevant trop d’ingrédients étrangers, comme Jésus de Nazareth »
Deux points de réflexion pour comprendre la dissension interne au coeur de la communauté Juive dont l’érudit Orthodoxe H. Chaim Schimmel disait que « Le peuple Juif ne suit pas littéralement la parole de la Bible, et ne l’a jamais suivi. Ils ont été formés et dirigés par l’interprétation verbale de la parole écrite.«
L’autre des deux points étant que les Karaïtes estiment que le Talmud travestit la Parole écrite de Dieu, au contraire de Jésus pour qui ce dernier représentait à la perfection l’esprit & la lettre Torahique et le Tenack comme seule Parole de Dieu jugée écrite et non orale (Talmud). Mais tout en refusant d’admettre Jésus comme Seigneur, sauveur et Messie.
Je me comprends parfaitement lorsque au détour de mes textes je parle des uns et des autres en termes de sectaires Sabbatéens. Je peux paraître sibyllin mais en réalité je vais vite dans mes énoncés car vous êtes supposés avoir de francs bagages culturels qui, ce faisant, m’évitent de passer du temps à longuement développer mes propos. Par « Sabbatéen » je fais référence au faux Messie juif soufi Sabbataï Zevi dont plutôt que de vous en épiloguer 1000 pages, je préfère vous en remettre à un lien qui traite de lui.
Gardez présent à l’esprit que je n’emploie jamais un mot par hasard, de même que j’ai un champ lexicologique largement assez étendu pour devoir écrire un terme par besoin de combler un trou. Si pour vous ce peut paraître transparent ou anodin, ce n’est qu’en apparence car, en profondeur, chaque mot, avec moi, est dûment pesé et calibré, et je le charge volontairement d’un sens dénoté ou connoté mais tout sauf hasardeux. J’ai glissé plus haut une allusion au génocide Arménien, et dernièrement je cite Sabbataï Zevi. Trouvez le lien.
Le lien est que le sataniste Sabbataï Zevi auto-proclamé démiurge est le fondateur de la secte Kabalistique et cryptarchique des Dönmeh en Turquie en 1665 à partir des sépharades expulsés d’Espagne en 1492 puis basés en Macédoine Ottomane avant de s’annoncer comme le Messie attendu des Juifs. De là, avec sa secte obscure d’endogames, il s’est attiré l’empathie du Calife Mehmet IV. Forts de leur homogénéité tribale, et leur pouvoir occulte augmentant, ils structurèrent dans l’ombre l’appendice politique et clandestin des « Jeunes Turcs« de sinistre mémoire, connus pour leur Révolution de Juillet 1908. Une Révolution des Jeunes Turcs faussement marranistes, en forme de cheval de Troie dont le format belliciste renvoie au registre des actuels Salafistes Wahhabistes du dossier Lybien où avec leur phalange de mercenaires Djihadistes possédés martyrisent la population Syrienne.
[A toutes fins utiles, sur les Dönmeh, mes lecteurs pourront se reporter bénéfiquement sur les pages 158 à 166 sur l’étude d’Hervé Ryssen « Pyschanalyse du judaïsme]. Ceci, c’est fait.
Vite, les Jeunes Turcs ne firent plus mystère de leur noir projet. Leur masque tombe. Le but profilé des Sépharades: abolir le Califat Musulman, l’Islam et ce où je voulais vous amener: les Chrétiennetés d’Orient, avec le cruellissime génocide des Arméniens Catholiques. Au même moment en France on sépare de force l’Eglise de l’Etat et survient dans la foulée la guerre de 14-18.
Ce n’est qu’une courte parenthèse: ce sont aussi les mêmes Sabbatéens lucifériens et consanguins qui au 17° siècle, nommés alors Frankistes (Jacob Franck) intervinrent dans la préparation et l’éclatement de la Révolution Française un siècle plus tôt. Etaient Frankistes les membres de la Famille Rothshild.
Les nouveaux Juifs que sont les Jeunes Turcs ont déporté et décimé environ 1.500.000 Arméniens d’Avril 1915 à Juillet 1916, juste avant les grands Holocaustes sanguinaires et les déportations faits aux Chrétiens Orthodoxes Russes par la Révolution Marxiste-Lénino-Trostkyste initiée par des Juifs aussi.
Egalement ces mêmes barbares Juifs ont pulvérisé en Arménie tous les monuments historiques sur leur passage puis éventré et saccagé 2350 écoles et églises, mis à feu et à sang 66 villes et 2500 villages. Les Jeunes Juifs Turcs commencent par désarmer les soldats Arméniens engagés dans l’armée Ottomane (rapport Lepsius, chapitre 2, Les vilayets de l’Anatolie orientale), puis prononcent des arrestations contre des centaines d’intellectuels et notables arméniens d’Istanbul en avril 1915, avant de les exécuter (Jean-Marie Carzou, Arménie 1915, un génocide exemplaire, Calmann-Levy). Viendront ensuite les ordres de déportation des populations Arméniennes, aussi bien dans les régions proches du front Russe qu’en Anatolie centrale & occidentale (rapport Lepsius, chapitre 3, Les vilayets de l’Anatolie occidentale).
Les Arméniens sont déplacés la plupart du temps à pied — plus rarement en train —, dans d’épouvantables conditions, subissant maladies, épuisement et famine, ils sont attaqués par des bandes kurdes ou par les gendarmes eux-mêmes qui les violent, les pillent et les éxécutent. Arrivés à Alep, ils sont répartis dans des camps où ils seront exterminés (notamment Chedaddiyé et Deir ez-Zor) dans le désert Syrien (Lire Raymond Kévorkian) . Les massacres sont orchestrés par l’Organisation spéciale (Teşkilat-i Mahsusa), qui prend ses ordres du pouvoir des Jeunes Juifs Turcs (Lire Yves Ternon, Enquête sur la négation d’un génocide par les Juifs).
L’historien Ahmed Refik qui a servi comme officier de Renseignement dans l’armée Ottomane a même allégué que l’intention des Jeunes Juifs Turcs visait très explicitement la destruction physique des Chrétiens Arméniens, leur totale extermination (ou « Solution Finale » pour reprendre des intéressés Juifs un mot si employé par eux). Les Jeunes Juifs Turcs expulsèrent aussi les Chrétiens Grecs des villes Turques. Politique appliquée aussi contre des Assyriens Catholiques dont Les Jeunes Juifs Turcs ont rasé industriellement les uns après les autres les villages du Sud de la Turquie dans les années Flower-Power 60’s & 70’s.
J’aime autant vous dire l’innommable impudence qu’ont les Juifs en terre occupée Socialiste de France d’éxiger repentance et flagellation des Français pour la symbolique rafle du Vel d’Hiv.
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