Leur timbre de voix est crispant et fatiguant. Ajoutons à cela le contenu inepte et superficiel de leurs propos. A peine ouvrent-elles leur moulin à sons qui leur sert de bouche, qu’on les trouve désagréables. J’en veux pour exemple parmi des milliards d’autres, les conversations des caissières du Géant Casino de Castres. Notre seule envie est de les assommer pour qu’elles se taisent, tant tout d’elles nous plombe le moral: de leurs prétentions à leur stérilité en passant par leur imbécilité qu’elles étalent avec un timbre de voix des plus pénibles. Compte tenu de l’exaspération que ces fastidieux boulets occasionnent à la société toute entière, je trouve parfaitement juste et honnête que les femmes soient taxées sur leur jactance. On dirait des postes de télévision qui régurgitent les 20 heures par jour de programmes qu’elles ont avalées. Je suis favorable à l’idée de leur fiscaliser un impôt sur leur bavardage pour alimenter une caisse de la Sécurité Sociale nous permettant de nous payer les tonnes annuelles de cachets d’aspirine que leur voix et leur débit de verbosité causent aux victimes de la logorrhée féminine ou les quintaux de bières que tant qu’à être soulés, on préfère encore boire jusqu’au coma rien que pour cesser le calvaire. Parce qu’on ne va quand-même pas passer toutes nos nuits aux WC rien que pour ne plus les entendre. Et ne parlons pas de leur rire qui est au mieux niais, au pire hystérique.
Nos mains pour une bonne gifle ne nous démangent jamais assez que quand elles gloussent comme des dindes ou ricanent comme des mouettes flipées. C’est vrai que leur rire nerveux est juste insupportable. Comme leur voix. Avec leur côté fortement irritable, les femmes gagneraient à être plus discrètes. Un jour dans un bar de Toulouse, c’était en Mars 2007, des étudiantes de la table voisine jactaient. Pour les taire je leur ai tendu le journal en leur ajoutant qu’elles devraient le lire. Une femme qui lit c’est la paix garantie. Je n’ai pas eu le calme du silence parce qu’elles l’ont lu, je l’ai eu parce qu’elles ont bugué 20 minutes en se demandant pourquoi je leur tendais le journal. Visiblement, avec leur QI d’huître elles n’auraient de toutes manières pas pu le lire.
Erycproject.
Post Scriptum: Et Coluche m’approuve.
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